vendredi 17 avril 2009
(Syfia Grands Lacs/Rd Congo)
Pour se faire un peu d'argent, des policiers du Bas-Congo enlèvent des filles et les vendent à des militaires angolais. Dénoncés par des organisations de la société civile, une dizaine d'entre eux ont été arrêtés. Mais la plupart des filles sont toujours aux mains de leurs "maris" en Angola.
jeudi 16 avril 2009
L'accord pourrait être un des plus importants contrats fonciers d’Afrique à ce jour Dix millions d’hectares de terres agricoles sont proposées par la République du Congo à des agriculteurs sud-africains pour y cultiver du maïs et du soja et y élever de la volaille et des vaches laitières, a annoncé hier Theo De Jager, vice-président d’Agriculture South Africa (AgriSA). L’accord pourrait être l’un des plus importants accords fonciers à ce jour en Afrique. Il entre dans le cadre d’un plan du gouvernement de Brazzaville visant à améliorer la sécurité alimentaire. ”_Ils nous ont donné 10 millions d’hectares, et c’est beaucoup si vous considérez qu’en Afrique du Sud, nous disposons d’environ six millions d’hectares de terres arables”, a dit De Jager à Reuters en marge d’une conférence sur l’agriculture à Durban. La superficie proposée correspond à deux fois celle de la Suisse. L’Afrique du Sud, premier producteur africain de maïs et troisième de blé, dispose de l’une des agricultures20les plus développées du continent. A noter que le Congo compte quatre millions d’habitants environ, concentrés dans le Sud-Ouest. L’accord, qui prévoit un bail de 99 ans gratuit et des avantages fiscaux supplémentaires, doit être finalisé le mois prochain en Afrique du Sud. Selon Theo De Jager, 1 300 agriculteurs sud-africains sont intéressés par le projet congolais. Plusieurs entreprises à travers le monde, dont des entreprises chinoises, d’Arabie saoudite, de Corée du Sud et du Koweït, proposent des contrats similaires à des pays déshérités du tiers-monde pour assurer leur propre sécurité alimentaire. C’est notamment le cas du conglomérat sud-coréen Dawoe, qui s’est un moment intéressé à cultiver du riz à Madagascar.
SOURCES:http://www.commodafrica.com/fr/actualites/matieres_premieres/foncier
Dans des contextes ethnoculturels en RDC - comme dans ceux de nombreux pays postcoloniaux de l'Afrique subsaharienne - caractérisés par une propension à privilégier le court terme au détriment du moyen terme et du long terme, je crois devoir souligner avec une insistance particulière que le fait que l'Honorable Gilbert KIAKWAMA KIA KIZIKI ait sollicite l'appui de sa candidature à la présidence de la l'Assemblée Nationale de la RDC par des termes qui mettent en exergue une perspective dépassant le court terme est déjà exceptionnel - je le cite : «Nous devons définir les contours du Parlement de la RDC pour les cinquante ans, les cent ans à venir. Nous devons agir, dès aujourd’hui, et mettre en place, non seulement les règles et les organes correspondants au Parlement que nous désirons, mais aussi, surtout les pratiques quotidiennes et le lexique qui garantissent qu’au-delà des règles, nous serons animés par un état d’esprit, une éthique, à même de pérenniser ce troisième pilier de tout gouvernement démocratique des hommes qu’est le Parlement. Voilà les raisons fondamentales qui me poussent à être candidat à la présidence de l’Assemblée nationale ». (Gilbert KIAKWAMA KIA KIZIKI )
Bonne chance à Mbuta Gilbert KIAKWAMA KIA KIZIKI.
mercredi 15 avril 2009
Nouvelle édition de Lutte contre le vieillissement précoce : une maladie du siècle de Marcel Nkounga
Cet ouvrage de deux cent quarante pages, Lutte contre le vieillissement précoce de Marcel Nkounga, est une parution du cabinet Conseil pour l'équilibre alimentaire (Cpea) publiée aux éditions Bibliothèque nationale du Congo. Édité pour la première fois en décembre 2007, l'ouvrage avait déjà été réimprimé en 2008 et l'est à nouveau aujourd'hui pour répondre à la demande d'un public qui s'intéresse de plus en plus aux questions liées à la santé et à l'alimentation.
Sur l'intérêt d'une telle recherche, Marcel Nkounga souligne : «Aujourd'hui, nous sommes envahis par des produits industriels qui sont dépouillés de leurs vitamines et minéraux. La maladie du siècle, c'est pour une raison évidente. Il ne suffit pas de penser au VIH/Sida qui est considéré comme la maladie du siècle. Maladie du siècle du fait que nous mangeons des aliments qui nous acidifient et ne nous apportent pas suffisamment de vitamines et de minéraux lesquels constituent le carburant du corps».
Le taux hormonal diminuant avec l'âge, chaque personne devrait être consciente que la vie réserve des surprises. L'ouvrage explique qu'il vaut mieux préparer demain dès aujourd'hui. Sept causes fondamentales seraient à l'origine d'une mort précoce, qu'elles soient liées à notre mode de vie (comme la pollution, les métaux lourds, les produits raffinés industriels et chimiques, etc.) ou à de mauvaises habitudes que l'on peut éviter (comme les drogues, alcools, tabac, café, etc.).
Face à cette menace permanente, cet ouvrage propose un éventail de solutions pour éviter la détérioration progressive de l'organisme causée par de multiples maladies, quelle que soit leur gravité. «C'est comme une voiture qui n'a pas suffisamment du carburant et ne peut pas aller loin. Le corps a aussi besoin des vitamines et des minéraux nécessaires. Au cas où personne n'y prend garde, le corps réagit par les maladies récurrentes que nous connaissons : le diabète, la colopathie, la prostate, l'hypertension artérielle et autre ballonnement de ventre que nous constatons souvent», précise Marcel Nkounga.
Lutte contre le vieillissement précoce, selon l'auteur, permet de prévenir les pathologies et de les éliminer pour ceux qui en souffrent déjà. «C'est un Vidal de la médecine orthomoléculaire, une médecine du XXIe siècle et de substitution à la médecine classique. Pensez santé avant tout. C'est une méthode " Quaprale " que je mets à la disposition du public pour supplémenter, positiver, faire un sport régulier, vivre le plus naturellement possible», renchérit Marcel Nkounga.
L'auteur partage son expérience avec le public qui s'intéresse aux questions fondamentales de la santé. Il vulgarise les méthodes de prévention contre les maladies dégénératives en s'appuyant sur les rapports scientifiques les plus récents et les expériences cliniques des chercheurs. Il informe sur les compléments alimentaires composés des nutriments essentiellement bioactifs issus de la flore et de la faune. Il est structuré en cinq chapitres : radicaux libres ; alimentation saine ; les substances nocives et les contaminants ; aliments alcalinisants et acidifiants ; Ca essentiels.
Vendu au prix de quinze mille FCFA, cet ouvrage, qui sera bientôt sur les rayons de la librairie des Dépêches de Brazzaville, est déjà disponible dans les espaces libraires tant à Brazzaville qu'à Pointe-Noire. On peut également se le procurer sur le site :www.marcelnkoungou.com, par courriel à l'adressemarcelnkounga2007@yahoo.fr, soit encore par téléphone au 00(+242)5336681 / 00(+242)4429718
Marcel Nkounga est diplômé en géologie de la faculté des Sciences de l'université Marien Ngouabi à Brazzaville. De 1981 à 2006, il travaille chez Total E&p Congo (ex-Elf Congo) d'où il sort délégué du personnel. Il a assuré la recherche d'uranium dans le département de la Sangha en 1982 pour le compte d'Elf Aquitaine (France) en qualité d'explorateur. Bon athlète, Marcel Nkounga a été sacré, en 2006, champion dans la catégorie des vétérans aux Jeux internationaux d'Ozouri à Port-Gentil, au Gabon. Il a également participé à des compétitions sportives de haut niveau. Écrivain, il a publié en 2005 son premier ouvrage intituléLes 4L qui sauvent et d'autres ouvrages sommeillent sous sa plume. Il est actuellement enseignant en nutrithérapie et anime des conférences-débats sur ce sujet.
Mabio Mavoungou Zinga élu à la tête du RDPS + Allocutions
Par Anthony Young, Ya Sanza | Le 11 avril | (51) Commentaires
L’élection de Mabio Mavongou Zinga fait exploser l’apparente unité du Kouilou dans le jeu politique national. Le RDPS claque la porte du RMP.Lire la suite »
Congo-Kinshasa: Candidat à la présidence du Bureau de l'Assemblée nationale Gilbert Kiakwama Kia Kiziki - «Ensemble bâtissons l'avenir»
Kinshasa — «Nous devons définir les contours du Parlement de la RDC pour les cinquante ans, les cent ans à venir. Nous devons agir, dès aujourd'hui, et mettre en place, non seulement les règles et les organes correspondants au Parlement que nous désirons, mais aussi, surtout les pratiques quotidiennes et le lexique qui garantissent qu'au-delà des règles, nous serons animés par un état d'esprit, une éthique, à même de pérenniser ce troisième pilier de tout gouvernement démocratique des hommes qu'est le Parlement. Voilà les raisons fondamentales qui me poussent à être candidat à la présidence de l'Assemblée nationale ».
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Cabinda (Angola), - Le vice-gouverneur provincial de Cabinda pour la sphère technique, António Manuel Gime a réaffirmé mardi, à Cabinda,chef-lieu de la province du même nom, à l'extrême nord-ouest du pays, l'engagement du gouvernorat local dans la résolution des problèmes des jeunes.
lundi 13 avril 2009
"Boma est en deui"l, indique un déclarant en douane de cette ville. "Si vous, vous promenez dans cette ville, poursuit-il, vous allez observer le désarroi dans lequel sont plongés les négociants et les commissionnaires." Au port, il n’y a que les bureaux d’autres services comme l’Ofida et l’OCC qui ont ouvert leurs portes. Ces services ne fonctionnent pas non plus normalement. Car, ils dépendent de l’Onatra. " Depuis que nous avons arrêté de travailler, l’argent ne circule plus à Boma comme avant ", déclare à son tour agent local de cette entreprise. Environ 80% des jeunes de la ville vivent grâce aux activités portuaires, souligne pour sa part un vendeur des appareils électroménagers de Boma. A ce jour, ces jeunes sont au chômage forcé. Leur oisiveté a déjà des conséquences néfastes dans la cité, notamment avec des actes de vandalisme, de vol et d’extorsion, ajoute ce vendeur. De leur côté, les importateurs sont impatients. Nombreux d’entre eux ont épuisé leurs frais d’hôtel. Ils sont en train de s’organiser, signale l’un d’eux, pour demander aux cadres de l’Onatra d’envisager la mise en place d’un service minimum en vue d’évacuer leurs marchandises. Boma, 14/04/2009 (Okapi/MCN, via mediacongo.net) | |