samedi 14 mars 2009

Mbanza Ngungu : drame humanitaire à Sava Ina après l'occupation de l’armée angolaise

Bas Congo | 14 Mars 2009 à 09:56:21

La majorité des habitants de Sava Ina, l’une des localités occupées par des militaires angolais, ont fui leur village. Les conditions de vie de ces habitants sont des plus difficiles, beaucoup d’entre eux passant la nuit à la belle étoile. Le député Jacques Lunguana qui revient de la contrée et livre cette information parle d’un véritable drame socio humanitaire, rapporte radiookapi.net



vendredi 13 mars 2009

RDC : Un chef du Bundu dia Kongo (BDK) toujours en prison

Un responsable du mouvement politico-religieux Bundu dia Kongo (BDK) est toujours emprisonné à Matadi, depuis son arrestation il y a plus d'un mois. Depuis, ses proches sont sans nouvelle.

Ce professeur de l’Institut technique professionnel de Matadi a été arrêté, ainsi que deux de ses collègues, le 15 février dernier par les services spéciaux de la police de Matadi. Selon la mairie de Matadi, la police a relâché les deux collègues de ce prfesseur, avant de le transférer au parquet de grande instance. Sans grands détails, on semble reprocher à ce professeur d’avoir commis "une infraction". Ce professeur est présenté comme le "responsable urbain" du mouvement politico-religieux Bundu dia Kongo (BDK) à Matadi.

La répression policière semble donc se continuer dans cette région de République démocratique du Congo. Récemment, dans un rapport de 36 pages publié à Kinshasa, la Mission des Nations Unies en RDC (MONUC) dénonce un "usage excessif de la force" ou un recours à la force "de manière illégitime" par la police nationale congolaise (PNC), pendant les opérations de rétablissement de l'ordre dans cette province en février et mars 2008. Selon la MONUC, le bilan de ces violences s'établit à au moins cent personnes, dont de nombreux adeptes du mouvement BDK.
Election présidentielle: analyse des candidatures déclarées
La candidature de Bintsamou Frédéric alias Ntumi


Six mois nous séparent, à présent, de la grande échéance de l’élection présidentielle. Déjà, lusieurs candidatures se sont déclarées. La Rédaction du journal LE CHOC va devoir analyser chacune des candidatures déclarées, semaine après semaine et par ordre alphabétique. Voici la candidature de Bintsamou Frédéric alias Ntumi.

Le Révérend pasteur Frédéric Binsamou dit Ntumi, est cet homme de Dieu qui, comme l’Abbé Fulbert Youyou, tient à accéder à la magistrature suprême. Deux points communs sont à observés entre les deux hommes. Le premier point c’est qu’ils sont tous originaires du Pool. Deuxième point c’est qu’ils sont tous deux, serviteurs de Dieu. Décidément, Dieu aime le Pool et lui donne beaucoup d’ambitions pour la nation. Ntumi va être le deuxième ministre de Dieu a prétendre diriger les congolais.

Les points forts de Ntumi :

Frédéric Bintsamou, alias Ntumi s’est révélé pendant les tristes événements qui ont endeuillé otre pays. C’est la guerre dans le Pool qui a, en quelque sorte, fabriqué l’homme, le Pasteur, le guerrier. Il est resté le guerrier débout dans le pool pendant toute la guerre. Sa milice a dû, tant bien que mal, contenir l’avancée de l’Armée nationale. On lui a reconnu les vertus et stratégies de guerre très appréciables. Tout le pool, pendant cette période sinistre, ne s’identifiait qu’à lui. Il est pris comme le sauveur du Pool. Les populations originaires de ce département lui vouent alors un culte sans pareil. Le sauveur, le fils aimé, l’adulé Ntumi devient l’incontournable faiseur d’opinion. Seule sa parole compte et rien d’autre. Quand il ordonne, on exécute et tout est réglé comme une boite à musique. Traînant une impressionnante foule d’adeptes, il est a donc un lectorat potentiel dans son Pool natal. Par la tribu ou par Dieu, plusieurs personnes lui feront confiance pour la présidentielle de 2009. Si le Pool n’enregistre pas une autre candidature, les
populations de ce département pourront peut-être voter massivement en sa faveur. N’oublions pas que le vote chez nous est plus basé sur des raisons ethniques, tribales que sur les capacités du candidat à diriger les hommes. Sur cette base donc, Ntumi peut réaliser un score non
négligeable au regard du grand électorat que constitue le département du Pool. Il lui faut plus convaincre par des actions allant dans le sens de la pacification du Pool. Son refus de prendre les fonctions au sein de l’équipe dirigeante actuelle peut être une façon d’éviter d’être comptable dans l’action d’un gouvernement qu’il va devoir affronté pendant la présidentielle. Donc, Ntumi, refuse de porter une quelconque responsabilité. A la fin, il n’est que normal qu’il fasse son bilan à la tête de cette structure où l’a nommé le chef de l’Etat.
Bien malin, Ntumi a intelligiblement décliné l’offre. Il compte donc partir à cette élection résidentielle sans à défendre un quelconque bilan. Il veut paraître blanc comme neige et solliciter les suffrages des congolais sous cette soutane sans tâche.

Les points faibles de Ntumi :

C’est homme qui porte sur ses épaules la triste histoire du Pool. Comment ce jeune d’à peine la quarantaine a pu t-il faire main baisse sur l’écurie Ninjas ? Tout commence en 1997, lorsque Bernard Kolelas fuit en exil, sa milice armée, ninjas, se retrouve orpheline. La nature ayant horreur du vide, Ntumi comprend que son heure est arrivée. Il contacte les ninjas. Parmi ceux-ci, se trouvent les nommés, BANZOUNZI, PISTOLET, MANON, DJEDRAH, KEWAME… Ils scellent l’accord qui va déboucher sur un plan d’attaque du PSP de Mindouli. Il y a mort
d’hommes. La vaillant capitaine Nkouka y laissera sa vie. Cette action d’éclat annonce les couleurs de l’arrivée d’un certain envoyé de Dieu : Ntumi. Kolelas absent, un autre messie prend le relais dans le Pool. Ntumi est alors accepté dans le sérail du Pool et il peut dès lors
régner en maître absolu. Il prépare alors sa rébellion avec le ralliement des vétérans ninjas tels que : COUTUMIER, YOKOCHI, Commandant CAMILLE, KOUBOUA-KOUTELAMA, DADDY… Ce sont eux qui constitueront l’ossature de l’équipée qui lancera l’attaque du 18 décembre 1998 contre les forces gouvernementales. Les éléments de Ntumi enregistrent des victoires éclatantes. Mais, il va surgir un problème de leadership dans les rangs de Ntumi. Ne voulant pas du tout être contesté moins encore concurrencé, le Pasteur guerrier organise un plan
d’élimination de tous ceux qui veulent lui tenir tête. Le chef COUTUMIER (ainsi appelé parce qu’il portait des vêtements en raphia), sera liquidé avec ses éléments à Bignonia. YOKOCHI, le chef de la troupe qui fit son entrée à Brazzaville le 18 décembre 1998, fut assassiné pendant les combats de Linzolo par MAKOUBOULA-KOUBOULA qui, lui aussi, sera éliminé pour mieux brouiller les pistes. Le Commandant CAMILLE a subi le même sort. A 17 kms de Brazzaville, un ninja non20identifié le descendit d’une balle dans la nuque, tirée de l’arrière. Le Général MBADAKANA, chef du front de la nationale une, tombé malade lors des affrontements, fut achevé par RAMSES à Manguiri dans un village dénommé Libye. Le pasteur Willy, mari de Nadine, actuelle épouse de Ntumi, a connu le même sort. KOUBOUA-KOUTELAMA qui
s’opposait à la politique belliqueuse de Ntumi et qui acceptait la main tendue par le chef de l’Etat, pour rétablir la paix dans le Pool, fut abattu à Kindamba en plein marché, par un commando.

C’est ainsi que Ntumi fit le nettoyage dans ses rangs. Aux assassinats, se trouvent associés les actes de torture. L’arme fatale de la torture made in Ntumi s’appelle : « Epée de Saint Michel. » Une machette chauffée à blanc qu’il plaquait sur les dos nus des suppliciés. De l’épée de Saint Michel, l’envoyé de Dieu passe à l’imputation systématique des membres de ceux qui en freinent à ses exigences.
L’exécuteur assermenté fut le Commandant BANANTSE et son escadrille de l’imputation, véritable machine à couper. La première victime à être amputée fut un jeune ninja surpris en train de manger du poulet un jour tabou (les mercredi et dimanche sont des jours tabous pour la
consommation des volatiles au royaume de Ntumi). Et pour mieux raffiner la torture, on demandait à la victime le choix de son mode d’amputation : manches longues ou manches courtes ?

Aujourd’hui, on peut bien contempler les vestiges humains de la barbarie du Révérend Pasteur Ntumi. Et cet homme aspire à être président de la République du Congo. Quel horreur ! C’est possible car les congolais sont capables d’élire un fou à la tête de leur pays.
N’est-ce pas l’Abbé Fulbert Youlou qui le disait en substance que le Congo pourrait, un jour, être dirigé par un fou.

Voilà la funeste épopée fulgurante du Révérend Pasteur Frédéric Bintsamou alias Ntumi, l’envoyé de Dieu qui aspire à la magistrature
suprême au Congo.

Hauloury BENGOUBI
L'HEBDOMADAIRE PANAFRICAIN
Mbanza-Gungu : l’armée angolaise refuse de quitter le sol congolais!
« le: Mars 07, 2009, 02:39:55 »
Le drapeau angolais continue à flotter dans les villages Sava Ina et Kuzi, à plus de 200 kilomètres de Matdi. Les troupes angolaises occupe ces villages depuis une semaine. Selon la société civile de Mbanza Ngungu, les occupants angolais ont déclaré vendredi à la population qu’ils ne partiront que quand les experts auront statué sur ce cas.
L'aéport de Mbanza Kongo recevra des vols nocturnesAngolaPress - Luanda, Angola

Mbanza Kongo(Angola) – La piste de l'aéroport de Mbanza Kongo, chef-lieu de la province de Zaire (nord), qui est en train d'être réhabilitée et élargie ...
JOURNEE D'HOMMAGE A MARIEN NGOUBI

HOMMAGE AU PRÉSIDENT CAMARADE L’IMMORTEL MARIEN N'GOUABI JEUDI 26 MARS 2009 de 10 H 30 à 17 H 30

Auditorium de la Mairie de Paris
Son excellence NGOUABI DOMINIQUE vous invite à la JOURNEE DE COMMEMORATION DE LA MORT DU PDT MARIEN N’GOUABI Jeudi 26 Mars 2009 de 10 h 30 à 17 h 30
Lieu : Auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris5, rue Lobau Paris 75004
Métro : Hôtel de Ville Places Limitées
Pour réserver tél : 06 26 94 12 46
E-mail : patrickeric@aol.com
Nous Sommes le Congo !Cessons d'Avoir Peur ! Pour un Etat de Droit au Congo !

"Chaque génération a le choix entre trahir ou accomplir sa mission"Celui qui lutte peut perdre ! Celui qui ne lutte pas a déjà tout perdu !

Patrick Eric Mampouyahttp://mampouya.over-blog.com/

Exposition à Paris de l'artiste Makoumbou


L'exposition "Afrique-Art témoin" de l'artiste congolaise de Brazzaville Rhode Bath-Schéba MAKOUMBOU à Paris est prolongée jusqu'au 30 avril.
Le public, en réservant un très bon accueil à la première exposition individuelle de Rhode à Paris, nous a incité à la prolonger d'un mois. Les visiteurs ont pu découvrir les nouvelles oeuvres, surtout la sculpture « Journée sans voiture » (voir les photos) qui ouvre une série de thèmes plus actuels que l’artiste va aborder dans les prochains mois.
Galerie CongoExposition jusqu'au jeudi 30 avril 2009.Du lundi au vendredi de 8 à 18h.38, rue Vaneau - 75007 Paris (Métro Vaneau)Info : +33(0)145 51 09 80


Site web de l'artiste : http://www.rhodemakoumbou.eu/

Mort du journaliste Sam Luval (Digitalcongo)



Le journaliste Sam Luval s’offre le panthéon
vendredi 13 mars 2009

72 ans, dont 45 passés d’une manière intense et passionnée dans le journalisme, c’est l’âge auquel Sam Luval vient de tirer définitivement la révérence, le 4 mars dernier à Kinshasa, non sans avoir mis, très tôt, son talent à contribution pour l’indépendance de son pays d’origine : l’Angola. En dehors de l’Angop, l’agence de presse angolaise, le défunt est passé par plusieurs rédactions prestigieuses en République Démocratique du Congo : « L’Étoile », « Le Courrier d’Afrique », « Zaïre », « Horizons » et en dernier lieu le site d’informations de la RDC le plus visité :« Digitalcongo.net » dont il était le rédacteur en chef. Comme un signe qui résume sa vie et sa carrière, l’accident vasculaire cérébral qui l’a emporté l’a surpris au sortir des installations de Digitalcongo, d’où il venait, entre autres tâches quotidiennes, d’envoyer des dépêches à l’Angop à Luanda.

Parmi les hauts faits de ce confrère, l’on se souviendra à jamais de son reportage mémorable dans les maquis de Cabinda, dans les années 60, qui avait révélé à l’opinion angolaise et internationale l’existence des autres acteurs de la lutte pour la libération de l’Angola. Intitulé « Les sept jours de Sam Luval dans les maquis de Cabinda » et publié dans « Le courrier d’Afrique », cet article avait réussi à démontrer que le GRAE (Gouvernement Révolutionnaire de l’Angola en Exil), constitué par le FNLA, n’était pas seul sur ce terrain. En effet, régnant en maître quasi absolu à Kinshasa, en cette lointaine année 1967, le GRAE, jouissait de la reconnaissance exclusive de l’OUA. Et c’est l’article précité qui amènera l’OUA à un positionnement plus équilibré vis-à-vis des principaux mouvements nationalistes de l’époque.
L’Angola devenu indépendant en 1975, Sam Luval va intégrer l’Angop, d’abord en sa rédaction extérieure, ensuite à la direction du Centre de Formation Professionnelle où il va offrir, dans les années 80, la découverte et l’immersion dans le journalisme à toute une génération de jeunes Angolais. Beaucoup parmi eux occupent aujourd’hui des postes de hautes responsabilités à l’Angop ainsi que dans d’autres agences de presse et même dans la diplomatie. Sam Luval a d’ailleurs fait une incursion dans cet univers avec quelques années à l’ambassade d’Angola à Kinshasa, avant de revenir à ses premières amours.
Pour l’avoir connu, fréquenté et pour avoir partagé des années de profession avec le regretté, je me souviens d’un confrère minutieux, pédagogue, passionné, désintéressé, direct, avide de la transparence et amateur indécrottable des belles lettres. Kinois de coeur, Sam Luval adorait l’environnement anthropologique de Kinshasa, avec ses excès et sa gaieté. Physique élégant, teint noir d’ébène, fascinant danseur, fan de Franco et de l’orchestre « OK Jazz », Sam Luval ne reniait pas un bon verre partagé avec des amis uniquement quand ça l’était avec joie et modération. Pas étonnant, car l’homme était un catholique très pratiquant, intransigeant face à la corruption, la promiscuité, le fouillis et la dégradation des mœurs.
En nous tournant définitivement les talons, Sam ne nous tourne pas le dos mais veut nous entraîner dans la voie d’un journalisme qui affranchit celui qui le pratique afin de libérer les consciences et de mobiliser les énergies dans son pays de sang l’Angola et dans celui de son cœur la RDC dont il venait de narrer à Luanda les dernières évolutions géopolitiques avec un optimisme contagieux. Pas besoin de passer par un notaire pour connaître l’héritage qu’il laisse et comment le repartir. Fructifier ce legs est le seul et le plus bel hommage qu’on peut lui rendre.
Adeus Amigo, confrade e Guia… !
RD Congo/ Kimvula : suite aux incursions angolaises, 3 villages se vident
Source: Radio Okapi
Date: 10 Mar 2009
Bas Congo 10 Mars 2009 à 08:53:14

Les villages Kimbendula, Kizoka et Kizeke zeke, dans le secteur de Benga, en territoire de Kimvula, sont vidés de leurs populations depuis plus d'un mois. Les villageois fuient les incursions répétées des policiers et militaires angolais, d'après plusieurs sources locales concordantes. Parmi elles, un député provincial joint par radiookapi.net, qui parle du viol des Congolaises par des policiers angolais.

jeudi 12 mars 2009

AFRICA/CONGO RD - La radio-televisión “Kukiele” para “despertar” a los católicos y no católicos de la diócesis de Matadi
Kinshasa (Agencia Fides)- “Nuestra radio quiere participar en el despertar del pueblo de Dios de la diócesis de Matadi, en primer lugar, y de la población en general”, afirma en una entrevista a Agencia Católica del Congo DIA, don Philibert Mayengele, director de la radio y televisión diocesana “Kukiele” promovida por la diócesis de Matadi, en la provincia de Bas Congo (República Democrática del Congo)... more

Flash : 3 villages du Bas-Congo se vident...

Selon Radio OKAPI
Kimvula : suite aux incursions angolaises, 3 villages se videntBas Congo 10 Mars 2009 à 08:53:14
Les villages Kimbendula, Kizoka et Kizeke zeke, dans le secteur de Benga, enterritoire de Kimvula, sont vidés de leurs populations depuis plus d'un mois.Les villageois fuient les incursions répétées des policiers et militairesangolais, d’après plusieurs sources locales concordantes. Parmi elles, un députéprovincial joint par radiookapi.net, qui parle du viol des Congolaises par despoliciers angolais.
Vethem Kifu Ki Kanda, député provincal élu de Kimvula, explique : « La situationque traverse ce village ne date pas d’aujourd’hui. Nos frères angolais ontl’habitude de venir faire irruption dans le sol congolais. Les mamans sontallées chercher des chenilles, sur notre sol congolais, mais les policiersangolais sont sortis de leur pays pour venir violer ces femmes. La populationest en débandade. L’école même est fermée. Et du point de vue sécuritaire, rienn’a été fait. Seulement, le gouverneur a écrit à son collègue de l’Angola3. Maisjusque là, il n’a pas encore répondu. Mais ces policiers angolais ne sont pas àleur premier coup. C’est chaque année qu’ils ont l’habitude de venir violer lesCongolaises sur notre sol. Donc, il faudrait que l’autorité provinciale prennedes mesures nécessaires pour sécuriser toutes ce populations frontalières. »
Par ailleurs, les militaires angolais sont toujours présents dans les villagesde Sava Ina et Kuzi dans le territoire de Mbanza Ngungu. La société civileaffirme que ces soldats angolais continuent à renforcer leurs positions et quele village Kuzi serait déserté de ces populations.
Copyright Radio Okapi

mercredi 11 mars 2009

M E M O R A N D U M

DE LA RESISTANCE CABINDAISE ET DES FORCES VIVES DU CABINDA

A L’ATTENTION SPECIALE DE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE
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C’est avec une particulière attention que nous, dirigeants de la 
résistance du FLEC et des Forces Vives du Cabinda, suivons à travers 
les médias des pays voisins le recrutement des exilés cabindais et des 
ressortissants congolais pour soutenir la propagande publicitaire et 
mensongère à présent orchestrée par le gouvernement angolais dans le 
but de manipuler et dévier l’opinion politique internationale de la 
réalité politique, économique et sociale que traverse le territoire 
cabindais.

A cet effet nous, fils héritiers de nos aïeux, épris par l’esprit de p 
atriotisme, dénonçons et condamnons vivement ce co
mplot ourdi contre le 
CABINDA, SON PEUPLE et sa lutte de libération nationale en déclarant ce 
qui suit :

1 – Le Cabinda, depuis 1885 protectorat portugais, à partir de 1933 
entité distincte et séparée de l’Angola dans la constitution coloniale 
portugaise, aux années 60 39ème Etat sur le plan africaine de 
décolonisation, ne cessera jamais d’être un héritage cher et sacré des 
cabindais dont la souveraineté a été usurpée, depuis 1974, par 
l’occupation angolaise sans le consentement des populations 
cabindaises.

2 – Nous rappelons que c’est depuis 1963 que le peuple cabindais, 
mécontent de l’occupation étrangère, s’est organisé officiellement en 
Front de libération afin de prendre sa destiné en main et défendre ses 
droits d’où la revendication de son droit légitime à 
l’autodétermination.

3 – En ce qui concerne l’ampleur du conflit politico-militaire que 
connaît le territoire cabindais, il n’y a jamais eu de grands ou petits 
conflits quand il y a mort d’hommes. Quelle qu’en soit l’ampleur de la 
crise actuellement, les angolais qui importent des tonnes et des tonnes 
d’armes pour faire la g uerre contre des populations cabindaises sans 
défense savent mieux expliquer que le conflit entre l’Angola=2
0et le 
Cabinda est une réalité incontestable. Et cette même réalité exige aux 
deux parties un comportement responsable qui puisse conduire à une 
évolution positive.

4 – La propagande que nous lisons actuellement dans les médias est 
dépourvue de tout sens car il y a biens longtemps que ces quatre exilés 
cabindais, en l’occurrence le vieux António Eduardo Sòzinho, Damião, 
Timóteo Pambo et Pedro Manuel Chianga, non seulement travaillent pour 
le compte du gouvernement angolais mais aussi font quand ils veulent 
des va et viens à Luanda et à Cabinda. Donc nous ne voyons pas en quoi 
peut être extraordinaire leur dernière tournée cabindaise au bénéfice 
politique et électoraliste du MPLA qui prépare déjà sa « victoire » aux 
prochaines présidentielles qui s’avoisinent. Cette nouvelle ne peut que 
briller aux yeux de l’ignorance car ces compatriotes soigneusement 
encadrés et escortés lors de ce voyage, en réalité touristique, savent 
expliquer qu’ils n’ont pas été autorisés de :

Se promener librement et prendre d’autres contacts à leur gré en dehors 
des cibles programmés à l’avance. Par exemple, de passage vers un 
village de N’Cuto ils n’ont pas été permis de regarder des cadavres des 
chinois abattus pa
r des éléments des FAA dans une période de paix 
annoncée tambour battant.

Découvrir l’omniprésence militaire angolaise en territoire cabindais 
soigneusement masquée aux yeux de la presse internationale pour 
dissimuler un véritable état de guerre par rapport à une présence 
militaire et policière normale en temps de paix.

Découvrir la répression militaire et policière contre la population 
cabindaise, particulièrement les arrestations arbitraires et des 
injustices de l’appareil judiciaire dont sont victimes les cabindais, à 
l’instar du journaliste cabindais Fernando Lelo, ancien collaborateur 
de la Voix d’Amérique, jusqu’à présent injustement incarcéré.

Découvrir que Raul Danda, récemment élu député indépendant dans le 
compte de l’UNITA, principal parti d’opposition angolaise, est 
actuellement poursuivit au parlement angolais et menacé d’être traduit 
en « justice » pour atteinte à la sécurité d’Etat avec toutes les mille 
chances de joindre Fernando Lelo. Pour quelle infraction? Que ça 
n’étonne personne, l’infraction n’est autre qu’ê tre né cabindais, 
parler du Cabinda et, enfin, défendre le droit cabindais.

Se rendre compte de la précarité de la situation socio-économique du 
Cabinda et de
s cabindais pour un territoire qui produit plus de 60% de 
l’économie angolaise. Depuis 1975, pas de port d’eaux profondes, pas 
d’aéroport international qu’on trouve dans la petite ville portuaire de 
Pointe Noire auquel dépend coûteusement l’approvisionnement du Cabinda; 
pas d’hôpital digne de sens, pas d’universités, etc., etc.…

Enfin, se rendre compte que les « petits trucs » qu’on a passé à leurs 
yeux ne sont qu’une simple propagande qui se répète dans l’histoire. 
Face au réveil et à l’effervescence politique de l’époque, les 
colonialistes portugais avaient adopté le plan CALABUBE pour 
désespérément remédier à l’émergence politique qui s’imposait. Ce plan 
se traduisait à des petites constructions improvisées dans quelques 
localités, comme des écoles villageois, des petits centres sociaux, des 
douches collectives, des petits dispensaires et la distribution des 
groupes électrogènes moyens dans les centres de Cabinda, Lândana, Buco 
Zau, Belize, d’où l’abréviation CALABUBE. Se trouvant dans la même 
situation d’émergence polit ique, le gouvernement angolais va jusqu’à 
la distribution des motos et des voitures de campagne aux chefs 
coutumiers, des villages et des églises. Son plan à lui est baptisé 
CALAB
OCA (FERMES TA BOUCHE).. Or, hier comme aujourd’hui l’expérience 
démontre que ni la force des armes ni cette politique de séduction 
n’ont pu arrêter l’irréversible résistance cabindaise.

Ces manœuvres ignobles propres à ceux qui ont peur du dialogue sont de 
nature à étouffer toutes les possibilités viables au dialogue politique 
inclusif appelé de tous vœux par toutes les couches sociopolitiques en 
Angola et au Cabinda.

5 – Vu l’ignorance de l’opinion publique qui ne suit que ce que disent 
les angolais, nous ne pouvons clore le présent mémorandum sans terminer 
par quelques recommandations:

AU GOUVERNEMENT ANGOLAIS

Si nous admettons que les vies humaines doivent être épargnées dans le 
territoire cabindais, alors il nous faut sérieusement trouver une 
alternative à la guerre et à la destruction dont vous êtes l’auteur 
incontestable. Le choix aujourd’hui n’est plus ni dans la force des 
armes qui a déjà montré ses limites, ni dans la corruption ni non plus 
dans20ces manœuvres politiciennes; il est plutôt, nous le croyons, au 
dialogue politique ouvert, franc et inclusif en présence des 
observateurs internationaux.

Personne n’ignore que les cabindais sont tous des victimes, tous sans 
distinction, y compris ceux qui sont avec v
ous. Ils sont condamnés à 
s’unir, à parler d’une seule voix et à vivre ensemble. Les 
colonialistes portugais vous l’avaient permit à la veille de 
l’indépendance de l’Angola. Si vous êtes de bonne foi vous pouvez aussi 
faire autant pour vos frères cabindais. Nous mettons ici votre volonté 
politique à l’épreuve : au lieu de continuer à manipuler des individus, 
nous vous proposons de rendre la souveraineté cabindaise aux cabindais 
de l’intérieur et vous verrez que ceux qui sont à l’extérieur 
déposeront la résistance et rentreront pour participer aux élections 
cabindaises.

AUX PAYS VOISINS

Nous n’avons jamais vu de la vie quelqu’un se couper son petit doigt, 
quoique inutile soit il. Le Cabinda ne représente pas ni aujourd’hui ni 
demain une menace à la paix et à la stabilité de ses voisins. 
Jusqu’aujourd’hui nous l’avons assez prouvé au prix du sacrifice 
suprême. Au contraire vous gagnerez plus si le Cabinda retrouve la s 
tabilité et une paix durable.

Vos responsabilité s étatiques en qualité de membres des Nations Unies 
et de l’Union Africaine vous obligent d’agir avec impartialité restant 
au milieu du village entre

 
Cabinda - Angola : Disponible pour négocier avec l'Angola Nzita Tiago réaffirme sa 
confiance dans la direction de FLEC 


Dans un communiqué diffusé à la presse Nzita Tiago, le président de 
FLEC, a dénoncé les rumeurs « tendancieuses et sans fondement », 
nourris par la « mauvaise foi de quelques membres de FLEC » qui ont 
emit des soupçons sur les liaisons de membres du mouvement. Dans le 
même document le chef de la résistance cabindesa a démenti que des 
responsables du mouvement avaient été exclus de FLEC et a accusé les 
initiatives elles lesquelles visent à provoquer des « imperfections » 
dans le sein du mouvement et du Gouvernement provisoire où « l'unité de 
la direction destabiliza les détracteurs ». En garantissant deque 
existe unanimité dans la vision les directeurs, il a nié que FLEC est 
un mouvement tribal ou mystique en réaffirmant que la direction et le 
gouvernement provisoire maintiennent la confiance dans « tous les leurs 
membres ». « Au aucun moment il doit dar=2 0razão ceux qui seulement 
inhalent à la destruction de notre mouvement » ont affirmé Nzita Tiago, 
« Cabinda est aujourd'hui une prisonnière livrée par les Angolais aux 
pouvoirs pétrolifères et financiers ». À travers le même communiqué 
Nzita 
Tiago il a considéré qu'est arrivée heure à mettre un terme 
définitif à l'occupation de Cabinda par Angola et a insisté que la 
position « catégorique et ferme » de FLEC est négocier avec Angola 
l'avenir de Cabinda vu le tempérament pacifique du peuple de Cabinda et 
son désir de monter à l'indépendance par un moyen non violent « sauf si 
des circonstances obligent différentement », a souligné. Nzita Tiago a 
affirmé que FLEC attend pouvoir se trouver avec « une délégation 
officielle d'Angola afin de négocier les problèmes fondamentaux » de 
Cabinda et obtenir rapidement les « décisions concrètes qui enlèvent 
les deux pays de l'impasse actuelle dû à l'incompréhension continue des 
autorités angolaises, responsables de la catastrophe ».

***yahoo translation.
RD Congo : Bas-Congo - Caritas Congo appuie le processus de ...
ReliefWeb (press release) - Geneva, Switzerland
Cette mission s'est déroulée du 23 février au 02 mars 2009 dans le Diocèse de Boma dans la Province du Bas-Congo. Elle a visé un double objectif : évaluer ...

mardi 10 mars 2009

Messe d’action de grâce à la mémoire du Cardinal Émile BIAYENDA

 

Église Saint-Denys de la Chapelle Samedi 28 mars 2009, à 14h30, à Paris

 

"A tous nos frères croyants du Nord, du Centre et du Sud, nous demandons beaucoup de calme, de fraternité et de confiance en Dieu, Père de toutes races et de toutes tribus, afin qu’aucun geste déraisonnable ne puisse compromettre un climat de paix, que nous souhaitons tous" (Cardinal Émile BIAYENDA)

A l’occasion du 32ème anniversaire de la mort du CardinalÉmile BIAYENDA (22 mars 1977 – 22 mars 2009), un office religieux sera célébré, le samedi 28 mars 2009, à 14h30, en l’Église Saint-Denys de la Chapelle, 18 rue de la Chapelle, Paris 18ème, sous le signe de l’unité et de la paix dans notre pays, le Congo Brazzaville.

L’Association Cardinal Émile BIAYENDA-France (ACEB-France) invite les Amis du Congo Brazzaville et la Communauté Congolaise à cette célébration eucharistique. Celle-ci sera présidée par Son Exc. Mgr Hervé ITOUA, Évêque émérite de Ouesso.

"Ne venez pas seul. Venez en famille, avec des proches et des amis"

Accès Métro ligne 12, station Maw Dormoy

Accès Bus 60 Place de Torcy

Accès Bus 65 Ordener-Max Dormoy - PC3 Porte de la Chapelle et à pied : 10 minutes.

 

Pour l’Association Cardinal Émile BIAYENDA-France(ACEB-France)

Président : Gabriel SOUNGA BOUKONO

Contact mail : acebfrance@yahoo.fr

Téléphone : 06.62.93.44.84

Nous Sommes le Congo !
Cessons d'Avoir Peur ! 
Pour un Etat de Droit au Congo !


"Chaque génération a le choix entre trahir ou accomplir sa mission"
Celui qui lutte peut perdre ! Celui qui ne lutte pas a déjà tout perdu !

Patrick Eric Mampouya
http://mampouya.over-blog.com/
Uíge
Une responsable religieuse évalue le recyclage biblique des pasteurs 


    
Uíge (Angola), - La secrétaire nationale du Conseil des Eglises Chrétiennes en Angola(CICA), Joana Bartolomeu Semba, séjourne depuis lundi, dans la ville de Uíge, pour évaluer la formation biblique des leaders de diverses congrégations débutée en 2008, en vue de l'amélioration de la qualité de leur travail d'évangélisation.   



10/03/09 16:55
CabindaRapatriement de plus 100 étrangers à Cabinda.
Cabinda - 124 étrangers qui vivaient en situation migratoire illégale, dans la province de Cabinda, ont été rapatriés entre les 28 février et 8 mars courant, vers leurs respectifs pays.

Selon une note de la direction provinciale des Services de Migration et Etrangers(SME) parvenue mardi à l'Angop, sur ce nombre, 96 sont ressortissants de la République Démocratique du Congo.

25 autres étrangers illégaux sont du Congo-Brazzaville, un de la Guinée Conakry, un du Cameroun et un du Nigeria.
Bas-Congo : La population de Mbata-Mbenge encouragée à améliorer l'habitat

Kinshasa — La population de la cité de Mbata-Mbenge, dans le secteur de Tsundi-Sud, territoire de Lukula, district du Bas-Fleuve, dans la province du Bas-Congo, a été encouragée à se procurer des briques cuites aux fins d'améliorer son habitat.

lundi 9 mars 2009

Le vice gouverneur du Bas-Congo, Déo Nkusu, affirme que la ...
Digitalcongo.net - Democratic Republic of the Congo
La situation est redevenue normale dans les deux villages du secteur de Gombe-Sud situés à la frontière de la province du Bas-Congo avec la province ...

dimanche 8 mars 2009

Football/Afrique

Championnat d'Afrique des nations 2009

Le premier Championnat d'Afrique des nations se tient en Côte d'Ivoire du 22 février au 8 mars 2009. Suivez les reportages de nos envoyés spéciaux.

Football - Championnat d'Afrique des nations (Finale)

La RDC triomphe au CHAN.(Photo : AFP/Issouf Sanogo)

La RDC au sommet

La RDC a remporté la première édition du Championnat d'Afrique des nations (CHAN). Les Léopards se sont imposés 2-0 face aux Black Stars en finale du CHAN, à Abidjan en Côte d'Ivoire. Les Congolais gagnent ainsi leur premier titre depuis la CAN 1974.

08/03/2009 à 19:54 TU

Football - Championnat d'Afrique des nations (Match pour la 3e place)

Les Chipolopolo font la fête.(Photo : RFI/Issouf Sanogo)

La Zambie passe la troisième

La Zambie a remporté la "petite finale" du Championnat d'Afrique des nations, en Côte d'Ivoire. Les Chipolopolo se sont imposés 2-1 face au Sénégal grâce à un nouveau but de l'inévitable Given Singuluma. Les Lions de la Teranga, trop limités offensivement, échouent au pied du podium.

07/03/2009 à 20:32 TU

Football – Championnat d’Afrique des nations (Finale)

Gladys Bokese en action.(Photo : AFP)

Gladys Bokese : « Personne n’a cru en nous »

La République démocratique du Congo affronte le Ghana en finale du Championnat d’Afrique des nations (CHAN), ce 8 mars à Abidjan. Le capitaine des Léopards, Gladys Bokese, n’est pas animé d’un sentiment de revanche après la défaite 3-0 face à ces mêmes Ghanéens en phase de poules. Il espère juste remporter ce premier CHAN pour le bien du football congolais.

08/03/2009 à 00:32 TU

Football – Championnat d’Afrique des nations (finale)

Dioko Kaluyituka, joueur du Tout Puissant, célèbre son but face à la Zambie.(Photo : AFP/Issouf Sanogo)

Un Congo Tout Puissant

L’équipe de la République démocratique du Congo joue une finale de grande compétition pour la première fois depuis 1974 : la finale du premier Championnat d’Afrique des nations (CHAN). Face au Ghana, ce dimanche 8 mars à Abidjan, les Léopards s’appuieront encore sur leur phalange venue du Tout Puissant Mazembe, un des deux clubs phares du pays. « Les corbeaux » sont 11 parmi les 23 joueurs sélectionnés et représentent plus de la moitié des titulaires.

08/03/2009 à 12:16 TU

BAS-CONGO : A KIANDU KUZI 23 MILITAIRES SONT VENUS RENFORCER LA POSITION ANGOLAISE.
Matadi, le 6-03-2009

La rencontre des deux gouverneurs des provinces sœurs n’a pas porté les résultats escomptés. Kiandu Kuzi est toujours sous occupation angolaise, 23 militaires se sont ajoutés aujourd’hui aux 7 précédents. La population délogée doit se battre pour survivre.

Les envahisseurs de Kiandu Kuzi se dénombrent maintenant à 30 aujourd’hui depuis12h00 selon le rapport de la société civile des Cataractes. Un contingent de 23 militaires angolais est venu en renfort aux 7 militaires qui s’y trouvaient précédemment selon ce même rapport. Les accords conclus entre les deux parties discordantes prévoyaient le retrait total des troupes angolaises du territoire congolais, ce qui n’a pas été exécuté au grand dam de la population. Alors qu’elle s’est réfugiée dans les villages voisins depuis samedi matin, elle a de sérieux problèmes de subsistance. « Nous sommes allés aux champs mardi, pour y trouver de quoi manger mais les Angolais nous ont arrêtés. Ils nous ont interdits d’y retourner sous prétexte que c’est leur territoire. Ils ont menacé de tirer sur nous s’ils nous y voyaient encore. » révèle une habitante de ce village.

Néanmoins une légère amélioration a été signalée. En effet, si l’accès aux champs et aux abductions d’eau leur avait été strictement refusé, cause de la prise d’otage de 6 villageois affamés actuellement un petit couloir leur a été ouvert. « Ils peuvent vaquer librement à leurs occupations champêtres » rapporte Robert Lukebana, président des Forces vives de Mbanza-Ngungu, société civile indépendante.